🌿 Répression sous couverture : Quand le MSSS prétend protéger, mais opprime!
Depuis la légalisation du cannabis au Canada en 2018, on aurait pu croire que l’heure de la paix sociale, du droit de consommer librement et du respect des acteurs du milieu était enfin arrivée. Au Québec, c’est tout le contraire qui s’est produit. Le ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS), sous couvert de « protéger la population », est devenu protecteur d’un monopole d’État, la SQDC, pour encadrer la vente récréative du cannabis. Mais derrière cette façade se cache une réalité bien plus sombre : la répression systématique des commerçants indépendants.
🛑 Répression organisée : les petits commerces dans la mire
Dès le départ, la législation québécoise a imposé un carcan rigide. Les commerçants sont soumis à une avalanche de règlements absurdes :
Produits cachés derrière des vitres teintées, comme si le cannabis était une honte.
Étiquetage complexe, réglementation à interprétation floue.
Inspections surprise par des agents-enquêteurs aux pouvoirs quasi absolus, capables d’émettre des contraventions exorbitantes sans réelle possibilité de défense en cour.
Et pourtant, ces commerçants ne vendent pas illégalement. Ils travaillent avec des licences, paient des taxes, respectent la loi… Mais cela ne suffit pas pour être traités avec dignité.
⚖️ Des « propriétaires délinquants » ? Sérieusement ?
Le terme utilisé par le MSSS pour parler de ces commerçants est révélateur : « propriétaires délinquants ». Une insulte déguisée en jargon administratif. On criminalise encore, on stigmatise toujours. Comme si la légalisation n’était qu’un changement cosmétique, qui masque une volonté de contrôler, punir et centraliser les profits.
Des dizaines d’établissements ont fermé leurs portes. D’autres survivent à peine. Tout cela pendant que la SQDC prospère, ouvre de nouvelles succursales, sans subir les mêmes inspections, sans se plier aux mêmes humiliations.
💰 Protéger la population… ou protéger un monopole ?
On nous répète que toutes ces restrictions sont là pour « protéger la santé publique ». Mais soyons honnêtes : qui profite réellement de ce modèle ?
Le monopole d’État, qui vend à gros volumes sans concurrence réelle ?
Ou la population, qui paie plus cher, avec moins de choix, dans une ambiance aseptisée qui criminalise encore le geste de consommer ?
Pendant ce temps, les producteurs locaux, les militants de longue date, les thérapeutes et les patients… eux, doivent se battre contre un système censé les avoir libérés.
✊ Le Parti Marijuana dit : ça suffit
Nous refusons ce modèle autoritaire, discriminatoire, hypocrite. La légalisation devait être une victoire citoyenne, pas un instrument d’oppression économique.
Nous réclamons :
La fin du monopole d’État et l’ouverture à un véritable marché libre et équitable.
L’arrêt des inspections arbitraires et une révision des pouvoirs des agents du MSSS.
Une réglementation humaine, cohérente, transparente.
Le respect des commerçants et des usagers comme des citoyens responsables.
🚀 Rejoignez le combat
Vous êtes commerçant, client, producteur, ou simplement fatigué de cette hypocrisie ? Rejoignez le Parti Marijuana. Ensemble, exigeons une politique juste, éclairée, et tournée vers l’avenir.
#MoiJeMassume 🌿 | #LibertéCannabique | #FinDuMonopole
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